Note [51]
V. note [4], lettre 770, pour Jacques Tartarin. Marc Héron avait été reçu à Paris maître épicier en 1620, puis maître apothicaire en 1626, et François Sanson, en même temps maître épicier et apothicaire en 1628 (Christian Warolin, Les apothicaires et la maîtrise d’épicerie à Paris. i. Deux listes de réception en 1655 et en 1671, Revue d’histoire de la pharmacie, 1990, volume 286, pages 295‑302).
Maurice Bouvet a décrit le local et les fonctions de l’établissement qui faisait l’objet du litige sur les préséances respectives des médecins et des pharmaciens dans son article intitulé Le Bureau des apothicaires-épiciers et des épiciers de Paris, rue des Lombards (ibid., 1960, volume 164, pages 267‑271).
Détruits à la Révolution, l’église Sainte-Opportune et son cloître bordaient le bas de la rue Saint-Denis, avec leur entrée rue de l’Aiguillerie (aujourd’hui rue Sainte-Opportune dans le ier arrondissement), près de l’ancien logis de Guy Patin, rue des Lavandières (v. note [7], lettre 1).
V. note [6] des Actes de 1651‑1652 pour les deux professeurs de pharmacie alors en exercice à la Faculté de médecine de Paris, Jean Bourgeois (élu pour deux ans en novembre 1651) et Martin iv Akakia (élu en novembre 1650).