Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑2 (1701)
Note [13]
Cet article ne figure pas dans le manuscrit de Vienne ; il se lit mot pour mot dans la lettre que Guy Patin a écrite à André Falconet le 25 décembre 1663 (v. sa note [13], pour les frati, frères moines), mais sans la référence au Satyricon de Pétrone (chapitre xvii) :
Utique nostra regio tam præsentibus plena est numinibus, ut facilius possis deum quam hominem invenire.[Notre contrée est partout si débordante de divinités que tu pourras plus facilement y trouver un dieu qu’un homme].
Néanmoins, le développement qui suit cette réminiscence est en partie différent.