Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 5 manuscrit
Note [33]
« Ce Franciscus Puccius était un laïc. Il finit par tomber dans une hérésie qu’il prêcha partout, croyant que Dieu l’avait envoyé pour réformer l’Église et convertir tous les impies ; mais comme ses harangues heurtaient les volontés de la cour pontificale, les inquisiteurs l’attrapèrent et le jetèrent en prison ; condamné comme hérétique, on le brûla vif à Rome. Nous n’accordons donc aucun crédit à cet infidèle quand il calomnie le très docte Muret, que tous protestent avoir été un excellent homme. » {a}
- Puccius n’a pas fait imprimer ce qu’il a dit de Marc-Antoine Muret à Tommaso Campanella.