Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-1
Note [17]
Les armoiries étaient peintes sur un tableau en forme d’écu (bouclier), qu’on accrochait ordinairement à une tenture murale. Les exhiber dans une église était une pieuse manière de faire durer son souvenir dans l’esprit des fidèles du lieu. La ruse du trou, employée pour empêcher qu’on les décrochât, se comprend aisément.
Ni « D.C. » ni « Le B. » ne sont sûrement identifiables. Si cette anecdote émane bien de Guy Patin et à titre de pure hypothèse, « Le B. » pourrait être Jérôme i Bignon (v. note [12], lettre 164), qui avait enjolivé son nom en « Le Bignon » : il possédait des armoiries distinctives (Popoff, no 616), mais je ne lui ai pas trouvé de seigneurie.