Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [20]
« si par hasard je parle trop hardiment contre des imposteurs qui abusent de la dignité et de l’authenticité de notre métier, je demande que cette permission soit concédée à la liberté philosophique et à un esprit épris de vérité. »
Cette citation vient aussi (v. supra note [19]) de la lettre du 28 octobre 1631 (v. sa note [17]). Le commentaire grandiloquent qui la suit est dans l’esprit de Guy Patin, mais non de sa plume épistolaire.