Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [26]
« il soupçonne en quelque façon son épouse », mais la locution serait plus intelligible avec quisque : « chacun soupçonne son épouse » (d’être infidèle).
Les lettres de Guy Patin ne permettent ni d’identifier le philiatre amoureux ni le médecin cocu, ni de trouver un passage qui approche du commentaire que son Esprit faisait ici sur l’amour chez les médecins. Il a qualifié deux praticiens parisiens de cocus :