Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [41]
Les noms y sont écorchés, mais le fond de cet article est exact, car il y a bien eu deux frères Folengo, tous deux moines bénédictins à Mantoue, qui ont inventé la poésie macaronique de Merlin Coccaye.
Leurs noms sont réunis dans le titre d’un ouvrage :
Ioan. Bapt. Chrysogoni Folengii Mantuani Anachoritae Dialogi, quos Pomiliones vocat. Theophili Folengii Mantuani Anachoritæ varium poema, et Ianus.[Dialogues de Joannes Baptista Chrysogonus {a} Folengius, moine de Mantoue, qu’il appelle les Nains. Le Poème varié et le Janus de Theophilus Folengius]. {b}
- De naissance dorée.
- In Promontorio Minervæ, ardente Sirio [Au Promontoire de Minerve (v. seconde notule {b‑i}note [23] du Naudæana 3 ), à l’Armoise ardente] (probablement pour Venise, Aurelio Pincio), 1533, in‑8o de 222 pages, dont Ann E. Mullaney a mis en ligne une transcription et une traduction en anglais.
Le Grand Dictionnaire de Moréri (Lyon, 1693, tome premier, page 1306) a consacré deux articles distincts aux frères Folengo, mais sans mentionner leur lien de parenté.