Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-4
Note [49]
Les deux vers d’Ovide sont tirés des Amours (livre ii, élégie iv, vers 9‑10) :
« Ce n’est pas une beauté précise qui excite mes amours : elles sont toujours cent à provoquer ma passion. »
Je n’ai pas identifié « l’amoureux Bonnal, L. M.D. » et je peine à croire Guy Patin capable de telles confidences sur sa vie amoureuse.