Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647)

Note [16]

Jean Fernel, Universa Medicina [Médecine universelle] (Genève, 1627, v. note [1], lettre 36), Pathologia [Pathologie], livre i, De morbis eorumque causis [Les Maladies et leurs causes], chapitre xii, Evidentium causarum genera [Genres des causes évidentes], page 355 :

Naturalem igitur vitæ cursum complebit, qui turbulentis externarum procellarum fluctibus minime iactabitur.

[Celui qu’auront donc le moins ballotté les flots que secouent les ouragans du grand large ira jusqu’au bout du cours naturel de son existence]. {a}


  1. Ma traduction s’écarte sciemment de celle qu’a donnée l’édition française de la Pathologie (Paris, 1655, page 42), où il n’y a pas d’allégorie marine :

    « Celui-là donc achèvera le cours naturel de la vie, lequel ne sera point agité par les efforts violents des choses nuisibles qui sont hors de lui. »


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647), note 16.

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(Consulté le 28/03/2024)

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