Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647)
Note [93]
Guy Patin a emprunté son « iliade de maux », morborum ilias, à la Schola Salernitana [École de Salerne] éditée par René Moreau (Paris, 1625) : v. notule {a}, note [6] du Traité de la Conservation de santé, chapitre ii.