De Charles Spon, le 28 août 1657
Note [28]
« Menacer se dit quelquefois en parlant de promesses de choses agréables : voilà déjà deux ou trois fois qu’on menace cette fille de la marier, pour dire, qu’on a parlé de la marier ; il nous a menacés d’un grand repas le jour de sa fête » (Furetière).
V. note [9], lettre de Charles Spon, le 21 novembre 1656, pour l’édition en projet des œuvres complètes de Jérôme Cardan par Charles Spon chez les libraires lyonnais Jean-Antoine ii Huguetan et Marc-Antoine Ravaud.