De Vopiscus Fortunatus Plempius, le 13 décembre 1656
Note [4]
C’est bien sûr Avicenne que Vopiscus Fortunatus Plempius s’appropriait ici familièrement en l’appelant « mon Arabe », et dont il s’apprêtait à publier les deux premiers livres du Canon, traduits en latin.