De François Teveneau, le 25 février 1657
Note [10]
Orthographe fautive du mot lavement en latin dans le manuscrit : enæma pour enema ; v. infra note [17].
Guy Patin se fiait essentiellement aux purgatifs administrés par la bouche (séné, rhubarbe, sirop de roses pâles ou de fleurs de pêcher, etc.), ne recourant guère aux clystères (lavements). La prescription du médecin Mormot donne une idée de la variété des substances qu’on y mélangeait.