À Charles Spon, le 21 novembre 1651, note 1.
Note [1]

« Je n’en puis mais pour dire : je n’en suis pas cause, j’en suis innocent, je n’en suis pas responsable » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 21 novembre 1651, note 1.

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(Consulté le 20/04/2024)

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