À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 1.
Note [1]

« il a pâti de la médecine qu’il s’est fait administrer par quelques médecins auliques qui professent un art qu’ils n’ont jamais compris : ainsi meurent les grands seigneurs ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 1.

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(Consulté le 19/04/2024)

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