À André Falconet, le 3 août 1660, note 1.
Note [1]

« la vraie cause d’un tel ajournement est l’incertitude et le doute sur la maladie de l’empourpré [Mazarin] ; une fausse rumeur colporte la renommée et les vertus des eaux de Bourbon disant qu’elles ont guéri ce mal, sans y avoir concouru en aucune façon. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 août 1660, note 1.

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(Consulté le 29/03/2024)

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