Note [1] |
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« savoir lavement, saignée, boisson d’eau froide et topique anodin [v. note [12], lettre 803] ». Dans les lettres de 1649 à 1653, Guy Patin a plusieurs fois parlé à André Falconet de ses coliques néphrétiques ; sa lithiase le faisait de nouveau souffrir (avec l’espoir raisonnable d’une guérison rapide). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 21 septembre 1660. Note 1
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