Scévole i de Sainte-Marthe, {a} père des jumeaux Abel (dit plus tard Scévole ii) et Louis, destinataires de la lettre, était mort en 1623.

Trois livres d’eux ou sur eux ont paru à cette époque, mais sans trace d’un éloge en vers signé Guy Patin ou Jean de Nully :

• V.C. Scævolæ Sammarthani quæstoris Franciæ Tumulus,

  [Tombeau du très distingué Scévole de Sainte-Marthe, trésorier de France] ; {b}

• Scævolæ Sammarthani Gallorum doctrina illustrium, qui nostra patrumque memoria floruerunt, Elogia. Aucta denuo et recognita,

  [Éloges, par Scévole de Sainte-Marthe, des Français qui se sont illustrés par leur savoir, et ont fleuri en notre temps et celui de nos pères. De nouveau augmentés et revus] ; {c}

• Abelii Sammarthani Scævolæ F. Opera quæ extant, Latina et Gallica, tam ea quæ prosa, quam quæ versibus conscripta sunt.

  [Toutes les Œuvres qui existent d’Abel de Sainte-Marthe, fils de Scévole : latines comme françaises, tant en prose qu’en vers]. {d}

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  1. V. note [9], lettre 48.

  2. Paris, Jacobus Villery, 1630, in‑4^o de 274 pages : recueils d’éloges et hommages posthumes, en latin et en français.

  3. Ibid. et id. 1630, in‑4^o de 162 pages ; réédition Ibid. et id. 1633, in‑4^o 163 pages, dans le premier volume des :

     Scævolæ et Abelii Sammarthanorum patris et filii Opera Latina et Gallica, tum ea, quæ soluta oratione, tum ea, quæ versu scripta sunt. Quibus accessit Scævolæ ipsius Tumulus. Editio ultima.

     [Œuvres latines et françaises de Scévole et Abel de Sainte-Marthe, le père et le fils, tant en prose qu’en vers. Avec le Tombeau de Scévole. Dernière édition].

  4. Ibid. et id. 1632, in‑4^o.

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