À Johann Caspar Fausius, le 4 février 1668, note 1.
Note [1]

« Heureux qui pense au voyageur et à l’exilé volontaire : au jour de malheur, le Seigneur le délivrera. » Accablé par les tristes circonstances, Guy Patin levait un coin du voile en adaptant le Psaume 41:2 à l’exil de son très cher Carolus :

Beatus qui intelligit super egenum et pauperem : in die mala liberabit eum Dominus

[Heureux qui pense au pauvre et au faible : au jour de malheur, le Seigneur le délivrera].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Caspar Fausius, le 4 février 1668, note 1.

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(Consulté le 20/04/2024)

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