Comme on va voir, il n’est pas ici question des maladies mentales, mais des émotions et de leurs effets « hygiéniques » sur le corps humain. Elles font écho à ses quatre humeurs (v. note [4], lettre de Jean de Nully, datée du 21 janvier 1656) : joie pour le sang ; colère pour la bile (kholê en grec) jaune ; tristesse pour la bile noire (mélancolie) ; indifférence pour le flegme.