Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647), note 1.
Note [1]

« Question médicale,

qui doit être disputée dans les Écoles de médecine, parmi les thèses cardinales, le matin du jeudi 14 mars, {a} sous la présidence de
M. Guy Patin, docteur en médecine et professeur de chirurgie. {b}

“ Une sobriété prudente et déterminée n’est-elle pas la mère d’une longue et agréable vie ? ” » {c}


  1. L’année, 1647, est indiquée à la fin.

    V. note [1], lettre 1, pour la définition d’une thèse cardinale et pour sa place dans le cursus médical parisien.

  2. Patin a été élu professeur de chirurgie le 9 novembre 1645 pour exercer cet enseignement à la Faculté de médecine d’octobre 1646 à octobre 1647 : v. note [4], lettre 142.

  3. V. note [6], lettre 143, pour le scandale que cette cardinale provoqua chez les apothicaires de Paris, et le retentissant procès qu’ils perdirent contre Patin dès le lendemain de sa soutenance.

    Dans ses lettres, Patin s’est copieusement flatté d’avoir été l’auteur de cette thèse et, là-dessus, sa lecture ne laisse aucune place au doute.


Cette cardinale a été réimprimée dans les Medici officiosi Opera [Œuvres du Médecin charitable] de Philippe Guybert (Paris, 1649, v. note [13], lettre 207), pages 446‑464. Elle est ici traduite et annotée pour la première fois (à ma connaissance).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Une thèse cardinale de Guy Patin :
« La Sobriété » (1647), note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8223&cln=1

(Consulté le 25/04/2024)

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