À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 10.
Note [10]

« parce que ces remèdes fictifs, avec leurs qualités occultes (qui sont réellement nulles), n’auraient de plus grande vertu que vider les cassettes des malades pour enrichir les apothicaires ; mais de cela je vous dirai plus une autre fois. »

Ce passage sur les qualités occultes allait éveiller la fureur de Belin.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 18 octobre 1630, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0005&cln=10

(Consulté le 29/03/2024)

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