À Claude II Belin, le 3 mai 1653, note 10.
Note [10]

L’antidotaire de la Faculté (Codex medicamentarius, v. note [7], lettre 122) avait pourtant bel et bien approuvé le « vin émétique » d’antimoine en 1638, mais la fureur de Guy Patin là-dessus était aussi aveugle qu’inamendable.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 3 mai 1653, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0311&cln=10

(Consulté le 24/04/2024)

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