Note [10] |
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« et de la sorte, par des veilles perpétuelles et une telle perte d’appétit [apositian] qui dégénérera en un jeûne complet [asitian] et mortel, une putréfaction des viscères le menace, et un marasme desséché. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 octobre 1656, note 10.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0446&cln=10 (Consulté le 23/04/2024) |