À Charles Spon, le 17 octobre 1656, note 10.
Note [10]

« et de la sorte, par des veilles perpétuelles et une telle perte d’appétit [apositian] qui dégénérera en un jeûne complet [asitian] et mortel, une putréfaction des viscères le menace, et un marasme desséché. »

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 octobre 1656, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0446&cln=10

(Consulté le 23/04/2024)

Licence Creative Commons