À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657, note 10.
Note [10]

« ne rien faire ni engager qui soit au profit des apothicaires : que le salut du malade soit la suprême loi. Sur la saignée, comme le palladium {a} suprême de notre art, lisez Galien, dans les livres qu’il y a consacrés, Fernel, au deuxième livre de sa Méthode pour remédier, et Botal. Il y a même à lire chaque jour quelque chose de la Méthode de Galien. »


  1. Le bouclier sacré, v. note [33], lettre 223.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657, note 10.

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(Consulté le 29/03/2024)

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