Note [10] |
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« ne rien faire ni engager qui soit au profit des apothicaires : que le salut du malade soit la suprême loi. Sur la saignée, comme le palladium {a} suprême de notre art, lisez Galien, dans les livres qu’il y a consacrés, Fernel, au deuxième livre de sa Méthode pour remédier, et Botal. Il y a même à lire chaque jour quelque chose de la Méthode de Galien. » |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657. Note 10
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