À André Falconet, le 25 novembre 1659, note 10.
Note [10]

« cela est sans espoir ni remède. » Sur un cas probable de cirrhose alcoolique ayant atteint un stade fort avancé, Guy Patin a ici bien expliqué comment se pratiquait la consultation médicale par correspondance.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 25 novembre 1659, note 10.

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(Consulté le 28/03/2024)

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