À Hugues II de Salins, le 15 avril 1660, note 10.
Note [10]

« parce qu’il est digestif et expectorant ; c’est pourquoi il est plus puissant que tout sirop béchique, {a} surtout s’il n’y a aucune intempérie chaude sous-jacente, dans le foie ou dans le cœur. Ceux qui souffrent d’asthme doivent se garder de toute pléthore ; c’est pourquoi ils doivent se faire saigner au printemps et à l’automne pour se prémunir contre un tel mal. »


  1. Qui soigne la toux, mais de manière symptomatique (v. note [7], lettre 121).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 15 avril 1660, note 10.

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(Consulté le 25/04/2024)

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