À André Falconet, le 10 mai 1661, note 10.
Note [10]

Les « Axiomes de Duret » ne correspondent a aucun texte imprimé de Louis Duret (v. note [10], lettre 11). Il pouvait s’agir d’un de ses manuscrits inédits ou, par erreur de transcription des précédents éditeurs, des deux centuries des Axiomata Frey qui occupent les 217 premières pages du Mens de Jean-Cécile Frey (Paris, 1645, v. note [12], lettre 7) : ce sont en effet les seuls axiomes physico-philosophiques que cite notre édition.

La suite de la phrase est de sens tout aussi incertain : Guy Patin semblait trouver bons ces Axiomata que Noël Falconet transcrivait pour son père, mais en connaissait d’autres meilleurs et de son propre cru, qu’il allait lui demander d’ajouter à sa copie. Il s’agissait sans doute des cahiers où il recueillait ses notes de lecture ou ses propres pensées, en vue d’alimenter ses écrits, leçons et disputations ; ou même de fragments de ses ana, et tout particulièrement de ses Paralipomènes (cent triades) du Borboniana.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 10 mai 1661, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0695&cln=10

(Consulté le 29/03/2024)

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