À André Falconet, le 18 mai 1663, note 10.
Note [10]

Mme de Motteville (Mémoires, page 532) :

« Dans ce même temps, {a} la reine eut la rougeole ; elle n’eut nul mauvais accident et en peu de jours, elle en fut quitte. Quand le roi vit qu’elle se portait mieux, il souhaita de la mener à Versailles pour y prendre l’air ; mais comme les premiers jours de sa maladie il n’avait point quitté son lit, qu’au contraire il était toujours demeuré auprès d’elle, il ne fut pas plutôt arrivé à Versailles qu’il fut attaqué du même mal, mais beaucoup plus dangereusement car au jugement de Vallot, son premier médecin, il fut menacé d’une prompte mort » {b}


  1. Dans le même temps que la reine mère était dangereusement malade (v. note [20], lettre 748).

  2. V. note [6], lettre 751.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 18 mai 1663, note 10.

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(Consulté le 20/04/2024)

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