À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 10.
Note [10]

« pour lui, ciel et enfers n’étaient que fables. »

L’empyrée « est le plus haut des cieux où les bienheureux jouissent de la vision de Dieu, qu’on nomme autrement le paradis. Le ciel empyrée, ou absolument l’empyrée. Ce mot est dérivé du grec pyr, qui signifie feu, à cause de sa splendeur et de sa lumière » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 10.

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(Consulté le 26/04/2024)

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