À Charles Spon, le 26 juillet 1650, note 11.
Note [11]

« il lui a fallu s’en aller là-bas d’où, dit-on, nul ne revient » ; Catulle (Poèmes, iii, vers 11‑12) :

Qui nunc it per iter tenebricosum
illuc, unde negant redire quemquam
.

[Et maintenant, il va par la route ténébreuse là d’où, dit-on, nul ne revient].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 26 juillet 1650, note 11.

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(Consulté le 29/03/2024)

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