À Charles Spon, le 4 août 1654, note 11.
Note [11]

On dit « d’un médisant qu’il a taillé en pièces la réputation d’une personne, qu’il l’a déchirée de toute sa force, qu’il est mordant, qu’il emporte la pièce » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 4 août 1654, note 11.

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(Consulté le 29/03/2024)

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