À Hugues II de Salins, le 12 juin 1656, note 11.
Note [11]

« par l’intempérie trop chaude du foie qui liquéfie et transforme le sang en une sérosité âcre : c’est pourquoi une telle maladie impose la saignée et à la boisson froide. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 12 juin 1656, note 11.

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(Consulté le 20/04/2024)

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