À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658
Note [11]

« Il a certainement frappé d’un coin trop connu des vers grossiers » (Juvénal, v. note [7], lettre 926).

Imprimer cette note
Citer cette note

x Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658. Note 11

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1144&cln=11

(Consulté le 02.04.2023)

Licence Creative Commons