À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 12.
Note [12]

Chavigny a pu être assassiné (ou s’être suicidé, option moins probable pour un janséniste convaincu) à l’aide d’un poison, ce qui atténuerait la culpabilité de l’antimoine que lui administrèrent les médecins venus à son chevet…

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 12.

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(Consulté le 25/04/2024)

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