À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 12.
Note [12]

« il redoute en effet la suffocation de ces deux parties, ce qui est habituel à tous les vieillards ».

La suffocation de la poitrine était l’asphyxie (par œdème pulmonaire), celle de la tête était l’apoplexie.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 12.

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(Consulté le 07/05/2024)

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