À Nicolas Belin, le 8 octobre 1655
Note [12]

« il y eut énormément d’auditeurs. » Quand Guy Patin avait décrit cette femme, condamnée à la pendaison, comme « belle et grasse », dans sa lettre du 5 octobre à Charles Spon (lettre 418, paragraphe daté du 1er octobre), l’anatomiste du Collège royal avait laissé deviner son envie d’une belle dissection ; mais il ne lui donnait alors que l’âge de 32 ans.

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x Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Nicolas Belin, le 8 octobre 1655. Note 12

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(Consulté le 23.03.2023)

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