À Charles Spon, le 30 novembre 1657, note 12.
Note [12]

« où les hommes de bien sont punis et voient chaque jour que c’est une loi du destin que tout périclite et aille à rebours » ; la fin est inspirée des Géorgiques de Virgile (v. note [34], lettre 203).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 30 novembre 1657, note 12.

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(Consulté le 29/03/2024)

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