À André Falconet, le 17 mai 1661, note 12.
Note [12]

« la maladie aiguë traîne en longueur et ses lourdes séquelles ne nous laissent pas en repos ».

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 17 mai 1661, note 12.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0696&cln=12

(Consulté le 29/03/2024)

Licence Creative Commons