Note [12] |
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Pour essayer de donner une cohérence à la phrase latine, de Bibliotheca cujusdam medicæ parat nescio quid, j’y ai remplacé medicæ [femme médecin] par medicinæ [médecine] ; mais sans pour autant parvenir à lui trouver un sens qui corresponde à un projet identifié : la publication, alors fort lointaine (Lyon, 1650), de la Medicina practica [Médecine pratique] de François Feynes (v. note [12], lettre 252), tirée de la bibliothèque de René Moreau, ne me semble pas apporter une solution plausible à l’énigme. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Johann Caspar I Bauhin, le 9 septembre 1638. Note 12
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