Note [13] | |
« Dans la même épître [dédicatoire] » (v. supra note [12]), louant la prévention de Feynes à l’encontre la polypharmacie, Charles Spon recopie (5e page) un passage du livre :
Spon assortit sa citation d’un renvoi au l. 4. c. 30. Guy Patin s’en étonnait car ce chapitre xxx (De Lumbricis [Les Vers intestinaux], pages 570‑580) du livre iv (De Affectibus ventris inferioris [Les Affections de l’abdomen]) ne contient en effet rien qui ressemble à cette citation. Elle provenait du livre iii, chapitre v {a} où Feyne s’exprimait très différemment : Itaque præter superiora remedia, quibus ut probatis, spectatisque in omni graviori pulmonum obstructione, et in asthmate uti licet, multa alia ab infarctu liberantia subiunximus ; non quod præcedentia virium imbecillitate damnemus, sed quo maior habeatur remediorum supellex, faciliusque sibi Medicus copiam vendicet, ad usum possit comparare. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 6 décembre 1650. Note 13
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