Note [13] |
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« advienne que pourra ! » Guy Patin indiquait ici comment on se rendait alors le plus commodément de Lyon à Paris : d’abord de Lyon à Roanne par le grand chemin, puis de Roanne à Orléans en bateau (coche d’eau) sur la Loire, et enfin d’Orléans à Paris par la route. Un autre itinéraire remontait la Saône jusqu’à Chalon (v. note [12], lettre 630). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 31 janvier 1659. Note 13
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