À André Falconet, le 24 octobre 1662, note 13.
Note [13]

« Il faut tenir les femmes de court, veiller sur leurs actions. Les chevaux neufs se doivent tenir de court » (Furetière). « Tenir la bride haute, courte, à quelqu’un, le diriger, le traiter sévèrement » (Littré DLF).

Ayant étudié à Paris depuis novembre 1658 sous l’étroite surveillance de Guy Patin qui lui avait assuré gîte, couvert et conseils, Noël Falconet avait obtenu sa maîtrise ès arts (août 1660), puis s’était initié à la médecine pendant deux ans en suivant les cours de la Faculté. Il venait de partir pour Montpellier en vue d’y obtenirtrès rapidement ses degrés en médecine : bachelier le 2 décembre 1662, licencié le 15 mai 1663 et enfin docteur le 18 juin suivant.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 24 octobre 1662, note 13.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0735&cln=13

(Consulté le 29/03/2024)

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