Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644, note 13.
Note [13]

« Les dons du roi, les privilèges qu’il accorde s’expédient par lettres patentes sujettes à vérification » (Furetière).

Les « lettres de don » citées ici pouvaient être les lettres patentes du roi, datées du 25 septembre 1640 (v. note [7], lettre 57), attribuant au Bureau d’adresse le double privilège de tenir des consultations charitables et de posséder des fourneaux pour la préparation des médicaments chimiques.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Annexe : L’ultime procès de Théophraste Renaudot contre la Faculté de médecine de Paris, perdu le 1er mars 1644, note 13.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8008&cln=13

(Consulté le 29/03/2024)

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