Note [14] |
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Il a les cheveux tout blancs, il est très vieux, mais veut toujours en découdre. Jean Benoît professait le grec à l’Université protestante de Saumur. Il pratiquait aussi la médecine, tout comme son confrère et rival Marc Duncan (v. note [50], lettre 97). Il avait fallu le synode national réuni à Charenton (v. note [18], lettre 146) en 1631 pour mettre fin à leurs disputes. Benoît a notamment donné des éditions de Lucien de Samosate et de Pindare qui ont longtemps fait autorité (Saumur, 1619 et 1620, v. note [5], lettre 774). Il mourut subitement en 1664. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 mars 1650. Note 14
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