À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 14.
Note [14]

« On verra beau jeu si la corde ne rompt, lorsqu’on fait de grandes promesses, qu’on donne de belles espérances de quelque chose » (Furetière).

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 25 octobre 1652, note 14.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0294&cln=14

(Consulté le 20/04/2024)

Licence Creative Commons