À André Falconet, le 19 octobre 1660, note 14.
Note [14]

« On dit qu’on a eu un larron de marché lorsqu’on a acheté quelque chose de hasard, qu’on a eue à vil prix. On dit au contraire, quand on achète quelque chose trop cher ou sa juste valeur, qu’il ne faut point crier au larron [au voleur] » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 19 octobre 1660, note 14.

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(Consulté le 24/04/2024)

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