Note [14] | |
Poursuivant sa digression sur les substances narcotiques, Guy Patin en venait au méconium (suc de pavot, v. note [10], lettre de Hugues ii de Salins, datée du 16 décembre 1656) et à son quasi-synonyme, l’opium (v. note [8], lettre 118) issu du pavot somnifère (Papaver somniferum), dont on distingue en effet deux sortes (Panckoucke) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Florio Bernardi, le 11 octobre 1658, note 14.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1142&cln=14 (Consulté le 29/03/2024) |