À Charles Spon, le 25 août 1654, note 15.
Note [15]

« En attendant, aimez-moi autant que je vous aime et veillez bien à votre santé. » Tout ce paragraphe fait allusion à un différend entre les libraires de Paris et l’imprimeur lyonnais Guillaume Barbier (v. note [7], lettre 366).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 25 août 1654, note 15.

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(Consulté le 17/04/2024)

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