À André Falconet, le 24 octobre 1662, note 15.
Note [15]

« Si Vulcain prit parti contre Troie, Apollon [v. note [8], lettre 997] se déclara pour elle » (Ovide, Les Tristes, livre i, Élégie ii, vers 5). La dispute des prélats aurait été un autre effet de l’affaire des gardes corses (v. supra note [1]) qui faisait craindre le déclenchement d’une guerre entre la France et les États pontificaux.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 24 octobre 1662, note 15.

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(Consulté le 29/03/2024)

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